[Jeux] La maison abandonne a Bonta

C'est un petit jeu auquel je m'amusais souvent avec Berisu. On commencait un RP et l'autre personne devait continuer. J'explique vite les regles.
* un francais correct, sms interdit
* pas d'indication sur le niveau des personnages (ca gache l'histoire apres :s )
Chacun peut introduire son personnage ou tout simplement continuer l'histoire avec ceux des autres (on se fache pas pour les betises qu'on ecrit hein ^^ je me suis deja fait teindre les cheveux en vert et me poursuivre par un marsupilami dans une des histoires comme ca Wink

).

Pour poster la suite vous ecrivez le message "[ecrit la suite]", vous le postez pour "garder la place" puis, une fois l'histoire ecrite, vous editez.

Bon RP a tous ^^

C'était un soir d'hiver, Komaki se promenait dans Bonta à peine recouverte de neige. Se laissant guider par ses jambes, comme elle le fait d'habitude quand elle est fachée ou triste, la Sacrieuse est arrivée devant la tour de Bonta. La ville était vide car beaucoup d'aventuriers sont partis sur l'Ile de Nowel, tout était silencieux et calme. Il faisait tellement froid que tous les Pious sont partis vers les zones plus chaudes, Komaki commencait a ne plus sentir ses pieds (car les Abrabottes ne protegent pas vraiment du froid) et c'est alors qu'elle a entendu un bruit. Quelqu'un chantait doucement une melodie que la Sacrieuse avait impression connaitre. Ce n'était pas triste mais le coeur de la fille s'est brusquement serré. Elle a couru dans la direction d'où semblait venir le chant et est arrivée dans une ruelle mi-sombre où se tenait une vielle maison inhabitée. "Impossible que ca vienne d'ici, c'est une ruine, il serait dangereux d'y entrer" s'est dit la fille, cependant la melodie venait bien de la direction de la maison.

Komaki hésitait vraiment à entrer, mais d’un côté sa curiosité faisait qu’elle aurait bien voulu le faire. Alors, la disciple sacrieuse décida d’allez devant la porte et de toquer. Elle alla devant la porte, attendit un peu, la mélodie continuait toujours de plus en plus rythmée, elle toqua. La musique s’arrêta quelques secondes, puis reprit. Elle toqua encore, mais là la musique continuait toujours. Komaki décida quand même de rentrer, ou juste pour voir ce qu’il y’avait dans la maison. Elle respira un grand coup puis l’ouvrit.

Derrière se trouvait une jeune ecaflip adossait sur une chaise qui tenait une légère flûte en bois de bambouto. Le son qui émanait de l'objet était très beau, et attirant. L'ecaflip vit la porte s'ouvrir, et fut surprise que quelqu'un pénètre chez elle sans autorisation, Elle posa la légère flutte et regarda la belle scarieuse, étonner de voir autre chose que un xelor ou un sram. L'ecaflip commença a identifier l'intrus, elle la regarder de haut en bas, et de gauche a droit, rien de suspect quoique elle avait une griffe un peu recourbé a sa ceinture, mais la flûtiste n'y fit pas attention. Elle s'avança la tête penché sur le coté et fixa son regard dans les yeux de la scarieuse. La jeune chatte était gracieuse et avançait doucement. Quand elle fut arrivée au pied de l'intrus, elle afficha un sourire et se présenta :

-Bonjour, je me nomme Anazc, que me vaut l'honneur de votre visite ?

"Je me nomme Komaki, j'ai entendu la melodie que tu jouais et elle m'a semble familiere, a dit la Sacrieuse."

"En effet, c'est une vielle chanson oubliee par la plupart des bardes. Il ne reste plus que 5 personnes qui la connaissent. C'est etonnant que tu l'aies déjà entendue, elle est interdite depuis des années."

"Interdite? Pourquoi?"

"On m'a dit que son compositeur a commis un crime impardonnable mais je n'en sait pas plus.... Ah j'ai une idée! Tu devrais rencontrer l'homme qui m'a appris à jouer cette chanson!"

L'Ecatte reposa sa flute et commenca a fouiller dans son sac. Elle sortit un bout de parchemin, y écrit quelques mots puis le tendit vers la Sacrieuse en disant:

"Va à cette adresse! L'homme qui y vit connait toute l'histoire".

Aki regarda le parchemin, des lettres écrites très maladroitement indiquaient une maison a Amakna, elle a voulu demander plus des precisions sur la personne qui connait la chanson mais l'Ecatte a disparu. "Allons-y quand meme" pensa la Sacrieuse et courut vite a l'enclos chercher sa Dragodinde.

Mais en arrivant sur le lieu indiqué par le parchemin elle s'aperçut que la maison n'était plus que des ruines et leur proprietaire a visiblement disparu.

La jeune fille se demandait comment trouver l’homme dont lui avait parlé Anazc. Elle fit le tour de la maison rien. Mais Komaki remarqua quand même, que dans les ruines, une légère fente dans le sol faisait apparaître une pièce cachée. Elle regarda au dessus de la fente, elle voyait belle et bien une salle en dessous. Alors la Sacrieuse prit son épée, et d’un coup elle agrandit l’ouverture, maintenant on voyait nettement la cachette. La bijoutière descendit en bas, et elle vit un homme entrain de dormir dans un coin de la cave. Il était grand, maigre, le crane rasé, il tenait une flûte dans la main, une baguette de pain dans l’autre. C’était un Iop.

La Sacrieuse s'avança doucement pour ne pas le réveiller, elle s'assit sur un tabouret et le regarda. Il tenait une flûte en oliviolet, qui semblait parfaitement taillée et prête à jouer n'impore quoi, le pain qu'il tenait dans son autre main était légèrement rassi et les graines de pavots en étaient tombées. Tout à coup le Iop se retourna dans son sommeil, une stupéfaction frappa alors Komaki, cette ... chose avait trois yeux !

Mais une fois la suprise passée, en y regardant de plus près, cet oeil semblait en fait une peinture, ou un tatouage. Ne voulant pas le réveiller, mais voulant en savoir plus, elle marcha un peu dans la cave, en regardant si elle pouvait voir quelque chose d'intéressant. Elle remarqua, dans un coin, à demi enfoui sous des couvertures, ce qui semblait être un coffre en bois... Elle ne voulait pas fouiller, mais la curiosité était forte. Après avoir jeté un coup d'oeil au Iop, qui semblait toujours dormir, elle tira légèrement sur un coin de couverture avec le pied, la faisant glisser au sol. Le même dessin sur le front du Iop était peint sur le dessus du coffre.

» Mercredi 22-11-06 Rencontres à Bonta
» Tel un chat... sur les toits de Bonta ~~
» merci
» Une Jolie Maison
» Délire à la maison